J'aimais me balader par les beau temps. Le ciel était bleu et bien dégagé, l'air était chaud avec une légère brise de vent. Je marchais bientôt depuis une bonne heure. Et une ds seule chose que j'avais remarqué et qui me posais problème était que mes sandalle d'été n'étaient vraiment pas assosiable à ma nouvelle robe. J'avais trouvé cette petite merveille lors du voyage avec mes parent en France, à Paris. Elle était d'une très jolie couleur turquoise. Elle avait ds bretelles d'environs dix centimètres de largeurs et une quinzaine en grandeur. Elle faisait un joli et très mignon décolleté sans tombé dans la vulgarité. Elle me déscendait jusqu'au genoux. Elle était très élégante.
J'approchais d'un endroit où je n'avait encore jamais été. Il y avait un grillage avec un pancarte. Je m'en approchais, une inscription était dessus : " Interdit d'entrée". Je levais la tête et vis une étrange construction. Une espèce de....maison était là. Mais qu'elle horreur ! Des gens vivaient dedans ? Comment faisait-il ? Et surtout comment était-il possible d'être aussi pauvre ? Je décidais malgré la mise en garde d'entrée. Le cemin qui y menait était en cailloux. Soudain une conversation entre deux élèves me revint à l'esprit. On racontait que c'était une cabane mais hantée. On l'appelait même la cabane hurlante ! Je souris à ce souvenir, c'était totalment débile d'appeller une cabane ainsi. Si cela se trouvait c'était juste un pztit malin qui faisait peur à tout le monde. Mais une Travis ne se laisse pas piéger aussi facilement. Et j'étais bien décider à prouver que ce n'étais qu'une hisoire grotesque et ridicule. Alors je m'avançais.
A mon approche un petit écureil roux se sauva.
*Si cette "cabane hurlante" était vraiment hantée les animaux n'aprocerais pas. Tout le monde sait trs bien que les animaux ont un sixième sens non ?*
Après avoir pensée avec autant de jugeotte, et fière de moi car je pensait vraiment bien. Je m'approchait encore plus confiante. Aptès tout beaucoup de gens n'aurait pas pensée à regarder si les animaux s'en approchaient ou pas.
Mais je devais tout de même l'avouer...il y avait quelque chose de vraiment sinistre et désagréable dans le paysage de cette cabane. Ce n'était pas les arbres qui était vraiment bien en fleurs. Ainsi que justement les fleur qui jalonais le chemin de cailloux. Non vraiment je n'aurais pû dire de quoi il s'agissait.
La cabane n'était plus qu'à une dizaine de mètre devant moi, quand une voix m'interpella. Et cette voi je ne la connaissait que trop bien.